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PHOTO(S) DE CETTE SEMAINE

ESPACE...LA DERNIÈRE FRONTIÈRE

L'amas de galaxies Abell S1063loupe

Il y a cinquante ans le capitaine Kirk et l'équipage du vaisseau Enterprise ont commencé leur voyage dans l'espace - la dernière frontière. Maintenant que le nouveau film Star Trek sort dans les cinémas, le télescope spatial Hubble NASA / ESA étudie également de nouvelles frontières, en observant les galaxies lointaines dans l'amas de galaxies Abell S1063 dans le cadre du programme Frontier Fields.

Espace ... la dernière frontière. Ce sont les histoires du télescope spatial Hubble. Sa mission continue d'explorer de nouveaux mondes étranges et de regarder là où aucun télescope n'a regardé avant.

La nouvelle cible de la mission de Hubble est l'amas lointain de galaxies Abell S1063, potentiellement la maison de milliards de nouveaux mondes étranges... Lire la suite.

Crédit photo : © NASA, ESA, et J. Lotz (STScI). /¤¤/ Communiqué de presse photo n° heic 1615 de spacetelescope.org.

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

CONFIRMATION QUE 2 EXOPLANÈTES 'PROCHES' SONT ROCHEUSES...

et, peut-être, habitables.

Vue d'artiste du transit de 2 planètes devant l'étoile TRAPPIST-1loupe

Une nouvelle étude révèle que 2 planètes de la taille de la Terre en orbite autour d' une étoile à proximité sont maintenant confirméees pour être rocheuses , avec en plus le cas la possibilité d'être habitables.

Les atmosphères de ces mondes peuvent aller de très mince, comme celle de Mars , à très dense, comme l'atmosphère de Vénus - et, éventuellement, confortablement entre les deux, comme la Terre, ont dit les chercheurs.

En mai, les astronomes ont rapporté la découverte de trois planètes de la taille de la Terre en orbite autour d'une froide étoile rouge nommée TRAPPIST-1. Cette naine est située dans la constellation du Verseau, à environ 39 années-lumière de la Terre. ( A titre de comparaison, Alpha Centauri, le système d'étoile la plus proche de notre propre système, est à environ 4,3 années-lumière de la Terre.)... Lire la suite de l'article de Charles Q. Choi, contributeur à Space.com.

Crédit photo : © NASA, ESA, G. Bacon (STScI) and J. de Wit (MIT).

UNE EXPLOSION D'ÉTOILE RÉVÈLE LA LIMITE EAU NEIGE

Vue d'artiste de la limite eau-neige autour de l'étoile V883 orionisloupe

Des observations effectuées au moyen du Vaste Réseau (Sub-)Millimétrique de l’Atacama (ALMA) ont pour la toute première fois permis de déterminer la limite eau-neige au sein d’un disque protoplanétaire. Cette limite correspond au seuil de température en-dessous duquel l’eau du disque entourant une jeune étoile se change en neige. Une hausse brutale de luminosité de la jeune étoile V883 Orionis a chauffé la partie interne du disque et repoussé la limite eau-neige bien au-delà de la distance classique pour une protoétoile, ce qui a permis de l’observer pour la première fois. Les résultats de cette étude paraissent au sein de l’édition du 14 juillet 2016 de la revue Nature.

Les jeunes étoiles sont souvent entourées de disques de gaz de de poussière, denses et en rotation, qualifiés de protoplanétaires parce qu’en leur sein se forment les planètes. Typiquement, la chaleur issue d’une jeune étoile semblable au Soleil est telle que l’eau du disque protoplanétaire se trouve à l’état de gaz à une distance inférieure à environ 3 ua de l’étoile – ce qui représente trois fois la distance Terre-Soleil, soit 450 millions de kilomètres environ. A des distances supérieures, la très faible pression change les molécules d’eau gazeuse en une pellicule de glace à la surface des grains de poussière et d’autres particules. La limite eau-neige correspond à cette région du disque protoplanétaire où se produit la transition de phase de l’eau, soit le passage de l’état gazeux à l’état solide... Lire la suite.

Crédit photo : © A. Angelich (NRAO/AUI/NSF)/ALMA (ESO/NAOJ/NRAO)./¤¤¤/ Communiqué de presse scientifique n° 1626 de l'ESO.

DANS LES PROFONDEURS INEXPLORÉES D'ORION

Vue infrarouge profonde de la nébuleuse d'Orionloupe

HAWK-1, l'instrument infrarouge qui équipe le Very Large Telescope (VLT) de l'ESO au Chili, a permis de sonder les profondeurs encore inexplorées de la Nébuleuse d'Orion. L'image spectaculaire obtenue révèle l'existence d'un nombre de naines brunes et d'objets de masse planétaire dix fois supérieur au nombre d'objets connus. Cette découverte questionne le scénario classique de formation des étoiles d'Orion.

Une équipe internationale a utilisé la toute puissance de HAWK-I, un instrument infrarouge installé sur le Very Large Telescope de l'ESO, pour capturer la vue la plus profonde et la plus compréhensive à ce jour de la Nébuleuse d'Orion. L'image d'une beauté spectaculaire qui en résulte a révélé l'existence d'une abondance élevée de naines brunes de faible luminosité et d'objets isolés de masse planétaire. La présence de ces objets de faible masse renseigne sur l'histoire de la formation stellaire au cœur même de la nébuleuse... Lire la suite.

Crédit photo : © ESO/H. Drass et son équipe./¤¤¤/ Communiqué de presse scientifique n° 1625 de l'ESO.

LA VIDEO DE LA SEMAINE

LA TERRE VUE DE L'ESPACE PENDANT UN AN À 160000 KM

La Nasa présente une vidéo montrant « un an dans la vie de la Terre » en accéléré (en anglais time-lapse), épiée par le satellite DSCOVR chargé de photographier sa face éclairée toutes les deux heures pour en suivre les changements au cours du temps... Lire la suite.

Crédit vidéo : © Nasa, GSFC, NOAA, US Air Force, via Futura-Sciences sur You Tube.

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