Le télescope spatial Hubble de la NASA / ESA a observé le reste de supernova nommé 1E 0102.2-7219. Les chercheurs utilisent l'imagerie de Hubble de l'objet résiduel pour remonter l'horloge sur les restes en expansion de cette étoile explosée dans l'espoir de comprendre l'événement de supernova qui l'a causé il y a 1700 ans.
Sommes-nous seuls ? C'est probablement la question la plus profonde qui se pose aujourd'hui encore à l'humanité. Et si la réponse à cette question était non ? Serions-nous prêts à l'accepter ? Pour Avi Loeb, astrophysicien à l'université de Harvard (États-Unis), une technologie extraterrestre a récemment traversé notre Système solaire. Il nous explique comment il est arrivé à cette conclusion.
Octobre 2017. Un observatoire à Hawaï (États-Unis) rapporte l'observation d'un objet mystérieux qui traverse notre Système solaire à une vitesse environ quatre fois supérieure à celle de la plupart des astéroïdes. L'objet suit une trajectoire hyperbolique qui indique aux astronomes qu'il vient d'ailleurs. Il est baptisé 1I/2017 U1. Et rapidement surnommé 'Oumuamua, comprenez « l'invité », « le messager ». Il éveille toutes les curiosités. « 'Oumuamua éblouit les scientifiques », titre alors la Nasa. Parce qu'il est le tout premier objet interstellaire observé aussi près de la Terre. Mais aussi parce qu'il présente un certain nombre de caractéristiques pour le moins surprenantes.
Comète, astéroïde, fragment de corps céleste. Au fil des mois, toutes les hypothèses concernant sa nature ont été mises sur la table. Y compris la plus folle de toutes : celle du vaisseau extraterrestre ! Une hypothèse soutenue -- envers et contre presque tous -- par Abraham Loeb, président du département d'astronomie à l'université de Harvard (États-Unis). « La méthode scientifique encourage à la prudence. Nous formulons une hypothèse, recueillons des preuves et testons cette hypothèse. Puis nous affinons l'hypothèse ou rassemblons plus de preuves. Mais les modes peuvent décourager la prise en compte de certaines hypothèses et le carriérisme peut diriger l'attention et les ressources vers certains sujets et les éloigner d'autres », explique-t-il... Lire la suite de l'article de Nathalie Mayer, (Futura).
UN ÉTONNANT SYSTÈME COMPOSÉ DE SIX EXOPLANÈTES...
... décrivant un ballet cosmique questionne les théories de formation planétaire.
Grâce à une combinaison de télescopes dont le Very Large Telescope de l’Observatoire Européen Austral (le VLT de l’ESO), des astronomes ont découvert un système composé de six exoplanètes, cinq d’entre elles participant à un véritable ballet cosmique autour de leur étoile centrale. Les chercheurs pensent que ce système pourrait offrir de nouvelles clés de compréhension de la formation et de l’évolution des planètes – y compris celles du Système Solaire.
La première fois que l’équipe a observé TOI-178, une étoile située à quelque 200 années lumière de la Terre dans la constellation du Sculpteur, il leur a semblé apercevoir deux planètes décrivant la même orbite autour de cette étoile. Un examen approfondi a révélé l’existence d’un système bien différent en réalité : « Des observations plus poussées nous ont permis de comprendre que le système n’était pas constitué de deux planètes orbitant à distance semblable de leur étoile, mais de plusieurs planètes situées dans une configuration bien particulière » précise Adrien Leleu de l’Université de Genève et de l’Université de Bern en Suisse, auteur principal de la nouvelle étude du système publiée ce jour dans la revue Astronomy & Astrophysics.
La nouvelle étude a révélé que le système se compose en réalité de six exoplanètes et que cinq d’entre elles – toutes à l’exception de celle située à très grande proximité de l’étoile centrale – décrivent un ballet cosmique lorsqu’elles se déplacent sur leurs orbites respectives. En d’autres termes, elles sont en résonance. Cela signifie que des configurations planétaires particulières se reproduisent à intervalles de temps réguliers, certaines planètes s’alignant à quelques orbites de distance... Lire la suite.
Une merveilleuse observation montrant des canaux inversés, des cratères et des fractures. Le matériau qui peut former des canaux inversés tend à être plus résistant à l’érosion que le terrain environnant, et il pourrait également y avoir des preuves d’altération hydrothermale ici.
Meridiani Planum, une région explorée par le rover Opportunity, est située dans l’hémisphère nord de Mars, à côté d’Arabia Terra.
Ce clip présente le centre amélioré couleur swath, ici environ 1 km de haut en bas, et le nord est à droite. Il s’agit d’un clip non mis en place.