Elle a été lancée en 2011. Depuis 2016, elle est en orbite autour de Jupiter. Et ce lundi 7 juin 2021, la mission Juno est passée tout près de Ganymède, la plus grosse lune de la plus grosse planète de notre Système solaire. La Nasa dévoile aujourd'hui les premières images de ce survol rapproché.
Voilà c'est fait. Ce lundi 7 juin 2021, la mission Juno est passée à seulement 1.038 kilomètres au-dessus de Ganymède. Plus de vingt ans après le survol rapproché de la sonde Galileo. À une vitesse de quelque 66.800 km/h, elle n'a eu que 25 minutes pour immortaliser le moment. Et Juno a déjà renvoyé vers la Terre deux images montrant la surface de la plus grande lune de Jupiter sur lesquelles apparaissent des détails remarquables. Des cratères, un terrain sombre et un terrain lumineux clairement distincts et des structures qui pourraient être liées à des failles tectoniques.Lire la suite de l'article de Nathalie Mayer, (Futura-Sciences).
CENTRE GALACTIQUE : DES FILS MAGNÉTISÉS TISSENT UNE TAPISSERIE GALACTIQUE SPECTACULAIRE
Un nouveau panorama offre une vue radiographique sans précédent au-dessus et au-dessous du centre de la Voie lactée.
Cette nouvelle étude s'appuie sur les observations précédentes de Chandra, assemblant 370 points distincts du télescope... Lire la suite
AUCUN ESPOIR DE VIE DANS LES NUAGES DE VÉNUS, MAIS PEUT-ÊTRE SUR JUPITER, SELON UNE ÉTUDE
Même le plus tolérant à la sécheresse des microbes de la Terre n'aurait aucune chance sur Vénus.
La quantité d'eau dans l'atmosphère de Vénus est si faible que même les microbes les plus tolérants à la sécheresse de la Terre ne pourraient pas y survivre, selon une nouvelle étude. Les résultats semblent anéantir l'espoir suscité par la découverte l'année dernière de molécules potentiellement créées par des organismes vivants dans l'atmosphère de la planète brûlée qui étaient considérées comme une indication de la présence possible de vie.
La nouvelle étude a examiné les mesures de sondes qui ont survolé l'atmosphère de Vénus et a acquis des données sur la température, l'humidité et la pression dans les épais nuages d'acide sulfurique entourant la planète. À partir de ces valeurs, les scientifiques ont pu calculer ce qu'on appelle l'activité de l'eau, la pression de vapeur d'eau à l'intérieur des molécules individuelles dans les nuages, qui est l'un des facteurs limitants de l'existence de la vie sur Terre ... Lire la suite de l'article de Terese Pultarova, rédactrice principale de Space.com.
LE MYSTÈRE DE LA BAISSE DE LUMINOSITÉ DE BÉTELGEUSE RÉSOLU
Lorsque Bételgeuse, une étoile orange brillante de la constellation d'Orion, est devenue beaucoup moins lumineuse fin 2019 et début 2020, les astrophysiciens sont restés perplexe. Une équipe de chercheurs vient de publier de nouvelles images de la surface de l'étoile, prises à l'aide du Very Large Telescope de l'Observatoire Européen Austral (le VLT de l'ESO), qui montrent clairement comment sa luminosité a changé. Ces nouvelles recherches révèlent que l'étoile était partiellement cachée par un nuage de poussière, une découverte qui résout le mystère de « l’important déclin » de Bételgeuse.
La baisse de luminosité de Bételgeuse - un changement perceptible même à l'œil nu - a conduit Miguel Montargès et son équipe à pointer le VLT de l'ESO vers l'étoile fin 2019. Une image de décembre 2019, comparée à une image antérieure prise en janvier de la même année, a montré que la surface stellaire était nettement plus sombre, notamment dans la région sud. Mais les astronomes n'étaient pas sûrs d’en comprendre la raison.
L'équipe a continué à observer l'étoile pendant son important déclin, capturant deux autres images inédites en janvier 2020 et mars 2020. En avril 2020, l'étoile avait retrouvé sa luminosité normale... Lire la suite.
Ici à la NASA, chaque jour est le jour des astéroïdes. Des nombreuses missions voyageant vers les astéroïdes de notre système solaire - certains retournant même des échantillons sur Terre - aux efforts pour trouver, suivre et surveiller les objets proches de la Terre et protéger notre planète des risques d'impact potentiels, nous regardons toujours vers le ciel.
